Hier, en sortant du bureau, j'ai dîné avec une cliente.
Quelques heures et deux bouteilles de Bourgogne plus tard, je plongeais ma tête dans sa chatte douce et épaisse et, alliant la curiosité de l'historien à la fougue de l'amant, enfonçais toujours plus profondément ma langue dans cette pilosité archaïque. Ô déesse des forêts ! Terre de Sologne humide et boisée ! Un buisson de sensualité ardente jeté à la face lisse et sans goût de la modernité.
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Octobre 2016
AuthorThéophane Dumartray Categories |